L’amour, une simple question de chimie ? Lifestyle TweetezPartagezEnregistrerL’amour n’est pas seulement une affaire de sentiments entre deux personnes ! Même s’il y a une attirance physique ou des affinités, le fait de tomber amoureux ou amoureuse est lié étroitement à des hormones, des substances chimiques, mais également des émotions déclenchées dans le cerveau. L’agence matrimoniale de Lyon vous en dit plus sur le phénomène amoureux ! Sommaire Toggle Commençons par le commencement : le premier contact amoureux à LyonLes trois hormones impliquées dans l’amourEt la suite ? Commençons par le commencement : le premier contact amoureux à Lyon Les phéromones restent les premiers responsables du contact amoureux. Grâce à ces substances chimiques sans odeur, un dialogue inconscient s’installe à distance entre les éventuels partenaires (même s’il n’y a pas de contact physique ou un dialogue entre eux). Pour faire simple, les phéromones correspondent à des messagers entre deux êtres. La région rhône alpes n’est pas épargnée par l’Amour ! C’est à Lyon et ses alentours que l’on retrouve le plus de couples. Les trois hormones impliquées dans l’amour Lorsque le message inconscient est transmis, d’autres hormones vont agir. Dans un premier temps survient le coup de foudre ! Le coup de foudre est associé à une décharge de phényléthylamine (PEA). Cette hormone également appelée « molécule de l’amour » plonge dans un sentiment d’euphorie. Son action est comme celle d’une drogue dixit les agents matrimoniaux de Lyon : on a besoin de voir la douce moitié, d’entendre sa voix, etc. L’état amoureux vient ensuite. Ceci est lié à l’adrénaline. Cette hormone grimpe considérablement lorsqu’on ressent quelques choses pour une personne. La montée d’adrénaline provoque de nombreuses réactions physiques. Cela explique pourquoi lorsqu’on se trouve près ddu lyonnais qu’on aime et qui nous attire, on perd tout contrôle, on devient nerveux (se) et on sent le cœur battre plus vite. Dans un dernier temps vient le plaisir. C’est l’hormone nommée dopamine qui est responsable du plaisir et de la passion. Elle procure un sentiment de gaieté et d’allégresse. Comme résultat, on voit tout en rose lors de la liaison ! Et la suite ? Au fil du temps, la concentration en dopamine tend à chuter, ce qui peut réduire l’attirance et surtout le désir d’être ensemble. Cette diminution de la dopamine est principalement due à une accoutumance neuronale. (Le cerveau est accoutumé au plaisir intense qu’il ne réagit plus). C’est là qu’entrent en jeu deux hormones : la vasopressine et l’ocytocine. Synthétisées par l’hypothalamus, ces deux hormones jouent de rôles importants dans la relation amoureuse. La vasopressine favorise l’attraction. L’ocytocine quant à elle diminue l’anxiété et la peur. En procurant un sentiment de sérénité, de confort et de sécurité, cette hormone favorise le rapprochement et la confiance entre les partenaires. Elle permet donc de raviver les flammes. Ainsi naissent de nombreux projets à deux : mariage, enfant, etc. Il n’y a rien d’étonnant alors nous disent les agences matrimoniales lyonnaises si l’ocytocine est appelée « hormone de l’attachement » ! Un échange de caresse ou de gestes tendres, un regard, une petite pensée amoureuse ou encore le son de la voix de la moitié suffit à déclencher cette hormone. Bref, vous avez compris, la vasopressine et l’ocytocine sont les hormones des relations de longue durée. Eh oui, une relation durable, ce n’est pas seulement dans les contes de fées, ça existe vraiment ! Il est tout à fait possible de rester avec la même personne après de nombreuses années. TweetezPartagezEnregistrer